2e marche de la laïcité/ lundi 29 mai
(organisée par OLAIC 34, soutenue par l’Ufal 13 PACA-Midi)
Une belle journée sous les signes du respect, de la fraternité et de la Liberté qui sera animée par le conteur Kamel Guennoun et le musicien Raphael Benyoucef.
Cette manifestation gratuite et ouverte à tous est organisée par l’association Olaic34 (Observatoire de la Laïcité – Cœur d’Hérault) en partenariat avec l’association Voix de l’extrême Poésie et Culture et Radio Lengadoc.
– Accueil café-croissant offert par l’association Olaic 34 (sur réservation)
– Marche vers le ginkgo biloba, symbole de la laïcité (4 petits km A/R).
– Lecture de contes par Kamel Guennoun accompagné en musique par Raphaël Benyoucef.
– Repas-partagé tiré du sac, échanges sur la poésie, la musique, la laïcité
– Se munir de crème solaire et de parasol !
(clôture vers 15h). Infos pratiques (accès, résa etc.) sur
www.olaic34.fr
Kamel Guennoun
« Il est de ces conteurs à qui quelques mots suffisent pour créer un décor et emporter son auditoire dans le merveilleux, il offre sans modération le plaisir d’écouter, avec toute sa générosité et sa douceur, il est là avec ou sans décor, juste une chaise, un peu de lumière douce, et le conte est bon.
Kamel Guennoun a le conte dans la peau. Quelque chose que lui a laissé sa grand-mère Tassadit qui racontait le soir sur une des petites places du village de Draâ El Mizan, dans le Djurdjura en Kabylie.
Cette mémoire montagneuse explique ce coup de foudre qui l’a pris, un jour en venant vivre dans les Cévennes. »
Raphael Benyoucef
« Raphaël Benyoucef est un poète multi-instrumentiste, compositeur et professeur au conservatoire de Montpellier. Il fait partie, également du Collectif Yao à Montpellier qui vise à valoriser les musiques traditionnelles de l’Inde à la Méditerranée. « Au son du oud, de la guitare freless, du lavta, du bouzouki défilent les paysages, les impressions, les visages, les odeurs, les émotions qui peuplent mes compositions, reflets de plusieurs vies dans une vies, tel un sabir, languages issues de plusieurs langues se fondant en une seule unique. A la croisée des Maqams, du jazz, saupoudrées de raggas indiens, de blues du désert, de musique andalouse ou de rebetiko, une musique se dessine. L’improvisation école de liberté trouve toujours sa place et les notes reviennent immanquablement à la note fondamentale du silence. »