Dans la nuit du lundi 10 avril, le camp « La Linière » de Grande-Synthe a brûlé. Nous avons appris par notre section de Lille que le gouvernement s’opposait à sa reconstruction. Aujourd’hui, nous sommes plus qu’inquiets pour les familles qui sont à nouveau mises dans des situations vulnérables.
Il faut sans attendre :
- Organiser un accueil d’urgence pour les publics les plus fragiles ; les femmes et les mineurs isolés.
- Reconstruire des camps aux normes humanitaires (comme l’était celui de la Linière).
- Ne pas dépasser la capacité d’accueil.
- Ne pas oublier qu’un camp n’est qu’un accueil provisoire. Les solutions doivent être trouvées
avec les populations migrantes, dans le respect des droits de l’homme. Les associations et ONG font ce travail social, il faut faciliter leurs actions.