Alors que la pétition Oui à la constitutionnalisation des principes de la loi de 1905 — Non…
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Intervention de Marie Perret lors une réunion publique organisée en novembre 2009 par l'Ufal de…
Tout gouvernement qui n’est pas la République est exactement représenté par l’image du pasteur et…
Quand je lis Homère, je fais société avec le poète, société avec Ulysse et avec…
Un processus de fusion des universités de Nancy (Nancy I, Nancy II, INPL) et de…
Le mouvement d’opposition aux mesures annoncées par le ministère de l’Education Nationale ne cesse de prendre de l’ampleur. Ce mouvement n’est pas, comme Xavier Darcos aimerait s’en convaincre, l’expression d’on ne sait quelle angoisse inhérente à l’adolescence.
La situation catastrophique de l'emploi générée par l'économie libérale de marché a incité les gouvernements successifs à en imputer les causes essentielles à l'enseignement. Certes, l'Education Nationale se doit maintenant de réduire totalement l'illettrisme, mais aussi d'assurer une formation professionnelle et citoyenne. Ce que les responsables politiques oublient de préciser, c'est que ces trois conditions réunies n'empêcheront pas le chômage; en effet, sur 4 millions de chômeurs, 300 000 offres d'emplois ne sont pas pourvues faute de gens qualifiés. Ces dernières peuvent être satisfaites si l'Education assure la formation correspondante et donc ne laisse pas sortir du système scolaire 150 000 élèves sans diplôme (parmi ceux-là, certains cumulent les handicaps, d'où leur révolte spontanée ou instrumentalisée qui met en danger nos institutions). Pour les trois millions 700000 chômeurs restants, l'Education Nationale n'en peut rien!!! Elle doit donc être considérée comme participant à la formation de l'individu. Pour cela, enseignements public et privé ont une contribution tout à fait différente, utile par sa pluralité; cette spécificité, le privé la garde contre vents et marées, mais les responsables politiques ont effacé celle du public.
Le lien entre école et laïcité est un lien étroit, tant sur le plan historique que philosophique. Rien d'étonnant, donc, à ce que l'école constitue le terrain privilégié des attaques contre la laïcité. Ces attaques ont lieu sur quatre fronts.
Si ses conclusions sont adoptées, le rapport de l’Inspection Générale (pour lire le rapport) concernant la revalorisation de la filière L impliquera un véritable bouleversement pour notre discipline d’enseignement, et au-delà même de la filière L, pour l’enseignement en lycée. L’analyse que nous en proposons relève surtout le diagnostic qu’il établit sur l’enseignement de la philosophie et les transformations qu’il appelle à mettre en œuvre. Ce rapport, qui est en conformité avec les indications données par le rapport annexé à la Loi d’orientation et de programme pour l’avenir de l’école, dite Loi FILLON, s’inscrit dans la continuité des grandes orientations suivies depuis 15 ans (depuis l’adoption de la Loi d’orientation, dite Loi JOSPIN, de 1989).
Voilà une vingtaine d’années que l’on débat sur la question de savoir s’il faut instituer…