La sécurité sociale et, par conséquent, les politiques familiales seront au cœur des prochains débats de la présidentielle, des législatives et de l’action gouvernementale qui en découlera : retour à une sécurité sociale solidaire, maintien des allocations familiales universelles et extension au premier enfant, structures d’accueil de la petite enfance…
Quelles que soient les décisions qui seront prises par le prochain gouvernement, elles impacteront de façon importante la fiscalité. L’UFAL a donc toute légitimité à se pencher sur cette question. Si nous sommes tous d’accord pour privilégier une fiscalité progressive et redistributive au détriment de l’imposition indirecte qui frappe avant tout les plus petits revenus, il existe encore, et c’est ce qui fait notre richesse, quelques points de désaccord au sein des instances de notre mouvement en ce qui concerne les modalités d’une telle réforme fiscale, notamment en ce qui concerne les coefficients familiaux et conjugaux.
C’est pourquoi nous avons choisi de donner la parole à deux administrateurs de l’UFAL, dont la compétence en ce domaine est reconnue, pour exprimer cette différence d’opinions. A chacun ensuite de se faire son idée, le débat est ouvert.
Retrouvez l’intégralité du dossier Fiscalité dans le dernier numéro d’UFAL Info !